Les bactéries… Depuis des millions d’années, elles ont la faculté de s’adapter aux toxines en développant des résistances… Un avantage évolutif certain. Et depuis que la médecine a recours aux antibiotiques, ces résistances surviennent beaucoup plus vite. Le deuxième axe du Programme prioritaire de recherche (PPR) Antibiorésistance vise à les prendre de vitesse et à trouver des parades avec de nouveaux traitements.
4 des 14 projets financés dans le cadre du PPR Antibiorésistance piloté par l’Inserm, présentés par leur porteur : NASPEC – Michel Arthur, NAILR – Vincent Cattoir, PHAG-ONE – Frederic Laurent, TheraEPI – Paola Arimondo.
À l’initiative du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et du Secrétariat général pour l’investissement (SGPI), le PPR Antibiorésistance est doté de 40 millions d’euros dans le cadre du troisième programme d’investissements d’avenir (PIA3).
Ce programme de recherche qui fédère l’ensemble des forces françaises publiques et privées du domaine, propose dans une approche « une seule santé », de nouvelles stratégies et mesures de lutte pour inverser la courbe des résistances microbiennes. L’Agence nationale de la recherche (ANR) est l’opérateur du programme.
Pour en savoir plus : https://ppr-antibioresistance.inserm.fr
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